La lutte contre la discrimination guide davantage de citoyens vers le marché du travail

Alors que le taux d’emploi des personnes d’origine belge était de 71,8 % en 2019, celui des personnes originaires de pays non membres de l’Union européenne n’était que de 43,2 %. Les discriminations fondées sur l’origine ne sont pas les seules à ralentir le marché du travail : les discriminations fondées sur l’âge, le handicap et le sexe subsistent également dans certains secteurs.

Le projet vise à briser certains mécanismes de discrimination structurelle. Pour ce faire, il faut être en mesure d’identifier les secteurs dans lesquels ces discriminations persistent. La discrimination sur le lieu de travail doit être quantifiée au moyen d’un suivi scientifique de la diversité et de la discrimination, qui sera mis en place au niveau sectoriel.

Il est également important d’améliorer l’applicabilité des tests de discrimination. À cette fin, le cadre juridique et les outils disponibles doivent être améliorés et les contrôles ciblés doivent être renforcés. Ces éléments devraient permettre de sensibiliser les acteurs et ainsi de réduire les discriminations sur le marché du travail.

Le public cible est le marché du travail. Le projet s’adresse donc aux employeurs et aux travailleurs, mais aussi aux bureaux d’intérim et aux entreprises de titres-services.

Gouvernement responsable

EU Funded

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octobre 2023

Cadre réglementaire adapté et meilleure application des tests de discrimination

Terminé

(1) Bekendmaking in het Belgisch Staatsblad van het aangepaste regelgevingskader inzake discriminatietests (artikel 42, lid 1 van het Sociaal Strafwetboek), (2) verbeterde tools en gegevens voor doelgerichte controles en (3) opleiding en versterking van de monitoringdiensten voor sociale wetgeving binnen de Federale Overheidsdienst Werkgelegenheid, Arbeid en Sociaal Overleg, om de efficiëntie van discriminatietests te verbeteren.